43e législature223Réponse du gouvernement déposée21 juin 2021432-00930432-00930 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB7 mai 202121 juin 202120 avril 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée21 juin 2021432-00916432-00916 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB6 mai 202121 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée18 juin 2021432-00914432-00914 (Justice)TedFalkProvencherConservateurMB5 mai 202118 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée15 juin 2021432-00959432-00959 (Justice)TedFalkProvencherConservateurMB12 mai 202115 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée15 juin 2021432-00956432-00956 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB12 mai 202115 juin 202120 avril 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée14 juin 2021432-00894432-00894 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB30 avril 202114 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée11 juin 2021432-00947432-00947 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB11 mai 202111 juin 202120 avril 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée11 juin 2021432-00943432-00943 (Justice)DamienKurekBattle River—CrowfootConservateurAB10 mai 202111 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée10 juin 2021432-00888432-00888 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB27 avril 202110 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée9 juin 2021432-00874432-00874 (Justice)DaveMacKenzieOxfordConservateurON26 avril 20219 juin 202129 mars 2021Pétition à la Chambre des communes réunie en ParlementNous, soussignés, citoyens et résidents du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes réunie en Parlement sur ce qui suit :QUE, ATTENDU QUE
  • le projet de loi C-6, Loi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion) est actuellement à l’étude au Parlement du Canada.
  • Le terme « thérapie de conversion » est vaguement défini dans le projet de loi et pourrait être interprété de diverses façons par les tribunaux canadiens.
  • Aux termes du projet de loi, au Canada, des parents, des responsables religieux et des enseignants seront exposés à des poursuites en vertu du Code criminel pour avoir, conformément à leurs croyances religieuses ou philosophiques fondamentales, offert un soutien et des conseils bienveillants à des enfants qui se cherchent en ce qui concerne leur sexualité ou leur identité sexuelle.
  • En vertu du projet de loi, les enfants obtiennent une latitude excessive pour prendre, sur le plan sexuel et médical, des décisions importantes qui auront des implications tout au long de leur vie.
  • Le projet de loi discrimine les personnes LGBTQ qui souhaitent obtenir des conseils en matière de comportements hétérosexuels ou cisgenres et réglemente des choix que les citoyens canadiens devraient pouvoir faire eux-mêmes.
PAR CONSÉQUENT, les pétitionnaires demandent à la Chambre des communes réunie en Parlement de protéger les intérêts moraux, religieux, philosophiques et sexuels des citoyens du Canada en empêchant l’adoption de ce projet de loi.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée7 juin 2021432-00869432-00869 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB23 avril 20217 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée7 juin 2021432-00864432-00864 (Justice)CathayWagantallYorkton—MelvilleConservateurSK23 avril 20217 juin 202119 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée4 juin 2021432-00846432-00846 (Justice)TedFalkProvencherConservateurMB21 avril 20214 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée4 juin 2021432-00844432-00844 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB21 avril 20214 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée3 juin 2021432-00839432-00839 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB20 avril 20213 juin 20218 mars 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée3 juin 2021432-00834432-00834 (Justice)CathayWagantallYorkton—MelvilleConservateurSK20 avril 20213 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée3 juin 2021432-00831432-00831 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB20 avril 20213 juin 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00826432-00826 (Justice)CathayWagantallYorkton—MelvilleConservateurSK16 avril 202131 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00825432-00825 (Justice)TamaraJansenCloverdale—Langley CityConservateurBC16 avril 202131 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00819432-00819 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB16 avril 202131 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00814432-00814 (Justice)DamienKurekBattle River—CrowfootConservateurAB15 avril 202131 mai 202119 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00813432-00813 (Justice)DamienKurekBattle River—CrowfootConservateurAB15 avril 202131 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée31 mai 2021432-00802432-00802 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB15 avril 202131 mai 202119 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée28 mai 2021432-00798432-00798 (Justice)TamaraJansenCloverdale—Langley CityConservateurBC14 avril 202128 mai 202119 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée28 mai 2021432-00796432-00796 (Justice)TedFalkProvencherConservateurMB14 avril 202128 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée28 mai 2021432-00794432-00794 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB14 avril 202128 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée28 mai 2021432-00790432-00790 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB14 avril 202128 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée28 mai 2021432-00789432-00789 (Justice)JeremyPatzerCypress Hills—GrasslandsConservateurSK14 avril 202128 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée27 mai 2021432-00783432-00783 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB13 avril 202127 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée26 mai 2021432-00762432-00762 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB12 avril 202126 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée10 mai 2021432-00754432-00754 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB26 mars 202110 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée10 mai 2021432-00744432-00744 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB26 mars 202110 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée10 mai 2021432-00742432-00742 (Justice)TomKmiecCalgary ShepardConservateurAB26 mars 202110 mai 20218 mars 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée7 mai 2021432-00729432-00729 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB24 mars 20217 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée7 mai 2021432-00720432-00720 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB24 mars 20217 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée7 mai 2021432-00710432-00710 (Justice)TedFalkProvencherConservateurMB24 mars 20217 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée6 mai 2021432-00702432-00702 (Justice)TamaraJansenCloverdale—Langley CityConservateurBC23 mars 20216 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée5 mai 2021432-00697432-00697 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB22 mars 20215 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée5 mai 2021432-00688432-00688 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB22 mars 20215 mai 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée26 avril 2021432-00675432-00675 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB12 mars 202126 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée26 avril 2021432-00665432-00665 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB11 mars 202126 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée23 avril 2021432-00649432-00649 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB10 mars 202123 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée23 avril 2021432-00638432-00638 (Justice)TamaraJansenCloverdale—Langley CityConservateurBC10 mars 202123 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée22 avril 2021432-00623432-00623 (Justice)CathayWagantallYorkton—MelvilleConservateurSK9 mars 202122 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée21 avril 2021432-00619432-00619 (Justice)CathayWagantallYorkton—MelvilleConservateurSK8 mars 202121 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, voulons attirer l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu qu’une thérapie de conversion faisait auparavant référence à des pratiques coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des pratiques inacceptables qui devraient être interdites; Attendu que, aux termes du projet de loi C-6, la thérapie de conversion s’entend « d’une pratique, d’un traitement ou d’un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuels ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette définition large applique à tort l’étiquette de « conversion de thérapie » à une vaste gamme de pratiques, y compris les services de consultation sollicités par des parents, enseignants et conseillers qui souhaitent encourager un enfant à réduire des comportements sexuels;Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de counselling ainsi que les interventions médicales et chirurgicales en vue de changer le sexe d’un enfant, mais qu’il interdit l’offre d’un soutien à un enfant qui veut faire la transition vers son sexe d’origine (cisgenre);Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en qui concerne la sexualité et le genre en interdisant l’accès à un soutien professionnel ou spirituel choisi librement pour limiter des comportements sexuels ou faire la transition vers son sexe d’origine. Par conséquent, nous, soussignés, prions la Chambre de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation :1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes ayant pour but de changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Veiller à ce qu’aucune loi ne discrimine des Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre;3. Permettre aux parents de discuter avec leurs enfants de sexualité et de genre ainsi que de fixer des règles à la maison concernant la sexualité et les relations amoureuses;4. Permettre des conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; 5. Éviter de criminaliser les services de counselling professionnels et religieux sollicités et consentis par des Canadiens de leur plein gré.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée21 avril 2021432-00605432-00605 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB8 mars 202121 avril 202113 février 2021Pétition à la Chambre des communesNous, les soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que la thérapie de conversion a toujours fait référence à des mesures coercitives et dégradantes visant à changer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, qui sont mauvaises et devraient être interdites; Attendu que le projet de loi C-6 définit la thérapie de conversion comme « une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, à modifier l’identité de genre ou l’expression de genre d’une personne pour la rendre cisgenre ou à réprimer ou à réduire toute attirance ou tout comportement sexuel non hétérosexuel ou toute expression de genre non cisgenre »; Attendu que cette vaste définition applique à tort l’étiquette « thérapie de conversion » à un large éventail de pratiques, y compris les conseils des parents, des enseignants et des conseillers encourageant les enfants à limiter leur comportement sexuel; Attendu que le projet de loi C-6 autorise expressément les services de consultation et les efforts médicaux et chirurgicaux visant à changer le genre d’un enfant, mais interdit le soutien à un enfant cherchant à faire une détransition et à revenir à son sexe de naissance (cis); Attendu que le projet de loi C-6 pourrait restreindre les choix des Canadiens LGBTQ2 en matière de sexualité et de genre en interdisant l’accès à tout soutien professionnel ou spirituel librement choisi pour limiter le comportement sexuel ou la détransition.Nous, les soussignés, demandons à la Chambre des communes de prendre les mesures suivantes pour remédier à la situation : 1. Interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne;2. Modifier le projet de loi C-6 pour fixer la définition de la thérapie de conversion et ainsi interdire la thérapie de conversion sans interdire les consultations volontaires ou criminaliser les conversations; 3. Permettre aux parents de parler avec leurs propres enfants de la sexualité et du genre et d’établir des règles internes sur le sexe et les relations.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, and prohibit promoting, advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.”Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific outcome that conforms with societal norms, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contains a “for greater certainty” clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration of a person’s identity or its development, without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression. The conversion therapy definition proposed by Bill C-6 would also not capture conversations or discussions that are not part of a formalized intervention (such as talk therapy) in which personal viewpoints on sexual orientation, gender expression or gender identity are expressed.Finally, Bill C-6 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. The Bill does propose to prohibit profiting from, promoting and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights.
Identité de genre et expression de genreLoi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion)Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée12 avril 2021432-00529432-00529 (Justice)MarilynGladuSarnia—LambtonConservateurON19 février 202112 avril 202110 février 2021Pétition au gouvernement du Canada Nous soussignés, citoyens et résidents du Canada, sommes extrêmement préoccupés par une attaque contre notre liberté de religion, de conscience, d’expression et de croyance, ainsi que notre capacité de l’exprimer sur la place publique. Bien que tous les Canadiens conviennent que personne ne devrait subir un traitement contre son gré, le projet de loi C-6 empêche une personne d’obtenir de son plein gré des services de counselling, des conseils ou des prières au sujet de sa confusion sexuelle. Nous prions le gouvernement du Canada de définir plus étroitement ce que les libéraux qualifient de « thérapie de conversion », de manière à exclure les services de pastorale, le counselling sollicité volontairement et la prière. Nous prions le gouvernement du Canada d’amender ou de retirer ce projet de loi. Nous prions le gouvernement du Canada de préserver les droits que nous garantit la Charte.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiConversion therapy efforts are rooted in the premise that one’s sexual orientation and gender identity can and should be changed to a narrow ideal of what is considered ‘natural’ or ‘normal’. There is no place for the destructive, harmful, and deadly practice of conversion therapy in Canada.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), which was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, supports the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, as well as advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people and is known to cause harm to those subjected to it.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, which reported the Bill with amendments on December 11, 2020, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.” The Bill targets practices, treatments or services that are designed to change a fundamental part of a person’s identity – their sexual orientation or gender identity, because these interventions are known to cause harm.The Bill’s definition of conversion therapy captures practices, treatments or services that are designed to achieve the objective of changing a person’s identity. An activity that does not amount to a “practice, treatment or service” would not be captured by the proposed definition, nor would a practice, treatment or service that does not seek to change a person’s identity.The Bill also seeks to reduce conversion therapy’s availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community through its proposed material benefit and advertising offences. This approach strikes a balance between the rights and freedoms of adults who may choose to receive or to provide conversion therapy, and the equality and dignity of LGBTQ2 people.More information about the considerations that support the consistency of Bill C-6 with the Canadian Charter of Rights and Freedoms can be found in the Bill’s Charter Statement, available at the following link: https://www.justice.gc.ca/eng/csj-sjc/pl/charter-charte/c6b.html.
Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée25 janvier 2021e-2760e-2760 (Justice)GilleanPaygeTamaraJansenCloverdale—Langley CityConservateurBC23 juillet 2020 à 12 h 15 (HAE)20 novembre 2020 à 12 h 15 (HAE)9 décembre 202025 janvier 202120 novembre 2020Pétition à la <Addressee type="2" affiliationId="" mp-riding-display="1">Chambre des communes réunie en Parlement</Addressee>Attendu que :Le projet de loi C-8 amalgame « l’orientation sexuelle » et « l’identité de genre », deux notions distinctes qui doivent être traitées différemment sur les plans médical et juridique;La définition de la « thérapie de conversion » donnée dans le projet de loi C-8 est vague et outrepasse les principes de précaution établis en criminalisant des thérapies offertes par des professionnels de la santé et des conversations normales entre parents et enfants, conseillers, soignants et éducateurs;Le projet de loi C-8 n’indique pas clairement comment les collèges provinciaux des médecins et chirurgiens doivent, en vertu des restrictions proposées aux traitements, formuler des directives fondées scientifiquement sur les meilleures options de traitement accessibles aux enfants et aux adultes qui sont en questionnement sur leur genre, qui présentent une dysphorie de genre ou qui sont en détransition, tout en respectant le serment d’Hippocrate.Nous, soussignés, citoyens du Canada, prions la Chambre des communes réunie en Parlement de régler les questions énoncées ci-dessus, et de faire et rendre publique une analyse comparative entre les sexes des conséquences que le projet de loi pourrait avoir sur les femmes, les enfants, les professionnels et les familles qui s’acquittent de responsabilités en matière de santé, d’éducation et de prestation de soins.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiBill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), which was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, supports the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. A previous version, Bill C-8, was introduced in March 2020.The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, as well as advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people and is known to cause harm to those subjected to it.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights (the Committee), which reported the Bill with amendments on December 11, 2020, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression”. The Bill targets practices, treatments or services that are designed to change a fundamental part of a person’s identity – their sexual orientation or gender identity – because these interventions are known to cause harm.The Bill’s definition of conversion therapy captures practices, treatments or services that are designed to achieve the objective of changing a person’s identity. An activity that does not amount to a “practice, treatment or service” would not be captured by the proposed definition, nor would a practice, treatment or service that does not seek to change a person’s identity.Specifically, the Bill’s definition of “conversion therapy” does not capture interventions that are considered to be legitimate by the mental health or medical professions, both of which denounce conversion therapy because it is aimed at achieving only a heterosexual or cisgender outcome, not assisting a person in exploring and developing their own identity, regardless of outcome. The Committee amended the definition’s “for greater certainty” clause to clarify that the Bill’s definition of conversion therapy does not include a practice, treatment or service that relates to the exploration or development of an integrated personal identity without favouring any particular sexual orientation, gender identity or gender expression.The Gender-Based Analysis Plus framework was used in the development of Bill C-6 to assess its expected impact on diverse groups of women, men, and gender diverse people. The analysis examined the impact of the proposals in Bill C-6 on LGBTQ2 Canadians, in particular Indigenous, trans and low-income individuals.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée25 janvier 2021432-00378432-00378 (Justice)MarilynGladuSarnia—LambtonConservateurON9 décembre 202025 janvier 20218 décembre 2020Pétition au gouvernement du Canada Nous soussignés, citoyens et résidents du Canada, sommes extrêmement préoccupés par une attaque contre notre liberté de religion, de conscience, d’expression et de croyance, ainsi que notre capacité de l’exprimer sur la place publique. Bien que tous les Canadiens conviennent que personne ne devrait subir un traitement contre son gré, le projet de loi C-6 empêche une personne d’obtenir de son plein gré des services de counselling, des conseils ou des prières au sujet de sa confusion sexuelle. Nous prions le gouvernement du Canada de définir plus étroitement ce que les libéraux qualifient de « thérapie de conversion », de manière à exclure les services de pastorale, le counselling sollicité volontairement et la prière. Nous prions le gouvernement du Canada d’amender ou de retirer ce projet de loi. Nous prions le gouvernement du Canada de préserver les droits que nous garantit la Charte.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiConversion therapy efforts are rooted in the premise that one’s sexual orientation and gender identity can and should be changed to a narrow ideal of what is considered ‘natural’ or ‘normal’. There is no place for the destructive, harmful, and deadly practice of conversion therapy in Canada.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), which was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, supports the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone without their consent, to undergo conversion therapy, as well as advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people and is known to cause harm to those subjected to it.As amended by the House of Commons Standing Committee on Justice and Human Rights, which reported the Bill with amendments on December 11, 2020, Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual, to change a person’s gender identity or gender expression to cisgender or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour or non-cisgender gender expression.” The Bill targets practices, treatments or services that are designed to change a fundamental part of a person’s identity – their sexual orientation or gender identity, because these interventions are known to cause harm.The Bill’s definition of conversion therapy captures practices, treatments or services that are designed to achieve the objective of changing a person’s identity. An activity that does not amount to a “practice, treatment or service” would not be captured by the proposed definition, nor would a practice, treatment or service that does not seek to change a person’s identity.The Bill also seeks to reduce conversion therapy’s availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community through its proposed material benefit and advertising offences. This approach strikes a balance between the rights and freedoms of adults who may choose to receive or to provide conversion therapy, and the equality and dignity of LGBTQ2 people.More information about the considerations that support the consistency of Bill C-6 with the Canadian Charter of Rights and Freedoms can be found in the Bill’s Charter Statement, available at the following link: https://www.justice.gc.ca/eng/csj-sjc/pl/charter-charte/c6b.html.
Minorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée16 novembre 2020432-00048432-00048 (Justice)ArnoldViersenPeace River—WestlockConservateurAB1 octobre 202016 novembre 202019 juin 2020Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que le projet de loi C-8 reflète la volonté de tous les parlementaires d’interdire les pratiques coercitives et dégradantes connues sous le nom de thérapie de conversion.Cependant, le projet de loi C-8 emploie une définition trop large du terme « thérapie de conversion », laquelle pourrait limiter des pratiques qui n’ont rien à voir avec la thérapie de conversion;Attendu que la modification, par le gouvernement, de cette définition dans le projet de loi C-8 permettrait d’avoir un régime juridique efficace qui respecte les droits de tous les Canadiens.Nous, soussignés, prions la Chambre des communes :d’interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle d’une personne ou son identité de genre;de s’assurer qu’aucune loi n’exerce de discrimination à l’égard de Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre;de permettre aux parents de parler de sexualité et d’identité de genre avec leurs propres enfants, et d’établir les règles qui s’appliquent aux relations sexuelles et autre dans leur maisonnée;d’autoriser les conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; de ne pas criminaliser le counseling professionnel ou religieux auquel font appel volontairement des Canadiens LGBTQ2 et auquel ils consentent librement.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we are moving forward with that commitment.Bill C-6, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on October 1, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. Bill C-6 is identical to former Bill C-8, which died on the Order Paper when Parliament prorogued in August. The main objective of Bill C-6 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone against their will, to undergo conversion therapy, and prohibit advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.Bill C-6 defines conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual or gender identity to cisgender, or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour.” Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. Any practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific heteronormative outcome, would not be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. For additional clarity, the Bill contains a “for greater certainty” clause to emphasise that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to a person’s gender transition, or to the exploration of their identity or its development.Finally, Bill C-6 proposes to prohibit profiting from and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community.LGBTQ2 rights are human rights. We hope that all political parties will join us in defending the rights of LGBTQ2 Canadians and unequivocally support a ban on conversion therapy.
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion
43e législature223Réponse du gouvernement déposée24 septembre 2020431-00258431-00258 (Justice)GarnettGenuisSherwood Park—Fort SaskatchewanConservateurAB15 juin 202024 septembre 20205 juin 2020Pétition à la Chambre des communes Nous, soussignés, citoyens du Canada, attirons l’attention de la Chambre des communes sur ce qui suit :Attendu que le projet de loi C-8 reflète la volonté de tous les parlementaires d’interdire les pratiques coercitives et dégradantes connues sous le nom de thérapie de conversion.Cependant, le projet de loi C-8 emploie une définition trop large du terme « thérapie de conversion », laquelle pourrait limiter des pratiques qui n’ont rien à voir avec la thérapie de conversion;Attendu que la modification, par le gouvernement, de cette définition dans le projet de loi C-8 permettrait d’avoir un régime juridique efficace qui respecte les droits de tous les Canadiens.Nous, soussignés, prions la Chambre des communes :d’interdire les pratiques coercitives et dégradantes qui visent à modifier l’orientation sexuelle d’une personne ou son identité de genre;de s’assurer qu’aucune loi n’exerce de discrimination à l’égard de Canadiens en limitant les services qu’ils peuvent recevoir en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre;de permettre aux parents de parler de sexualité et d’identité de genre avec leurs propres enfants, et d’établir les règles qui s’appliquent aux relations sexuelles et autre dans leur maisonnée;d’autoriser les conversations libres et franches sur la sexualité et les comportements sexuels; de ne pas criminaliser le counseling professionnel ou religieux auquel font appel volontairement des Canadiens LGBTQ2 et auquel ils consentent librement.
Response by the Minister of Justice and Attorney General of Canada Signed by (Minister or Parliamentary Secretary): The Honourable David LamettiEvery Canadian has the right to be who they are and love who they love. Conversion therapy is a scientifically discredited practice that targets vulnerable LGBTQ2 Canadians in an attempt to change their sexual orientation or identity. It is a cruel, harmful and degrading practice that can lead to life-long trauma.Our Government promised to ban conversion therapy in the Criminal Code and we will absolutely be moving forward with that commitment.LGBTQ2 rights are human rights. We hope that all political parties will join us in defending the rights of LGBTQ2 Canadians and unequivocally support a ban on conversion therapy.Former Bill C-8, An Act to amend the Criminal Code (conversion therapy), was introduced in the House of Commons on March 9, 2020, in support of the Government’s commitment to amend the Criminal Code to ban the practice of conversion therapy. The main objective of former Bill C-8 is to protect the dignity and equality of LGBTQ2 people through Criminal Code amendments that would prohibit causing a person under 18, or anyone against their will, to undergo conversion therapy, and prohibit advertising and profiting from conversion therapy, a practice that discriminates against LGBTQ2 people.Bill C-8 defined conversion therapy as “a practice, treatment or service designed to change a person’s sexual orientation to heterosexual or gender identity to cisgender, or to repress or reduce non-heterosexual attraction or sexual behaviour.” Only practices, treatments or services that are meant to achieve one of these objectives are captured by the definition of conversion therapy and the proposed offences. No practice, treatment or service that maintains a range of possible outcomes, or that seeks to explore a person’s sexuality or gender identity without seeking a specific heteronormative outcome, would be captured by the proposed definition of conversion therapy, regardless of who provides and who receives the treatment or service. The Bill contained a for greater certainty clause to clarify that its conversion therapy definition does not include a practice, treatment or service that relates to a person’s gender transition, or to the exploration or development of their identity.The offences proposed by former Bill C-8 would not capture conversations or discussions in which personal viewpoints on sexual orientation or gender identity are expressed, including between parishioners and religious officials, or between family members.Finally, former Bill C-8 would not prohibit the provision of conversion therapy to consenting adults when no fees are charged. This recognizes that some adults seek out conversion therapy for different reasons, and respects their freedom to do so, while drawing a firm line for children, who are particularly susceptible to conversion therapy’s harms. The Bill did propose to prohibit profiting from and advertising conversion therapy, which would reduce its availability and the presence of discriminatory public messaging about the LGBTQ2 community. In doing so, former Bill C-8 struck a balance between the rights and freedoms of adults who may choose to receive or to provide conversion therapy, and the equality and dignity of LGBTQ2 people. 
Identité de genre et expression de genreMinorités sexuellesThérapie de conversion